Offerte aux mâles en guise de cadeau d’anniversaire

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il y a 6 ans

Offerte aux mâles en guise de cadeau d’anniversaire

Au mois de janvier, un samedi soir, mon mari m’a annoncé que nous sortions pour me donner mon cadeau. Il m’a mis un bijou de corps qui allait du cou à l’entrejambe, des bas, des talons très hauts, un maquillage exagéré et juste un manteau de peau. C’est dans cette tenue qu’il m’a emmenée en voiture dans la vieille ville de Cannes.

Quand il a garé la voiture, il m’a bandé les yeux avec un beau foulard de dentelle noire. Nous avons marché sur le trottoir ainsi quelques minutes. Je lui tenais le bras, mon manteau, volontairement entrouvert, s’ouvrait de plus en plus à chaque pas. Nous croisions des gens et j’entendais des commentaires, des chuchotements. Je me sentais un peu honteuse à mon âge, mais j’avais une confiance totale en mon mari. Il me parlait et me rassurait en me disant que j’étais superbe. Soudain, un autre homme m’a pris l’autre bras. Je ne voyais rien. Nous sommes entrés dans un immeuble sans un mot, dans le silence le plus complet. Nous avons monté deux étages et un troisième homme m’a aussi pris le bras. Je tremblais, mais ne disais rien comme mon mari me l’avait demandé. Ils m’ont retiré mon manteau et m’ont assise sur le bord du canapé. Ils m’ont donné à boire du champagne et à manger des petits fours, déposés directement dans ma bouche ouverte. Une musique douce emplissait la pièce. J’entendais mon mari et ces deux hommes commenter ma tenue et mon physique avec des mots crus qui m’excitaient terriblement.

Puis, j’ai senti des mains me caresser doucement, de plus en plus précisément. Ce n’étaient pas les mains de mon mari. Elles prenaient mes seins un peu lourds en les malaxant et descendaient sur mon entrejambe. J’étais terriblement excitée. Ces mains me caressaient bien, délicatement, et l’obscurité multipliait mes sensations. Ces hommes m’ont renversée sur le dos avec les jambes ouvertes et m’ont caressée de plus en plus au niveau de l’entrejambe. J’étais offerte, les bras et les jambes écartées. Ils étaient torses nus, je touchais leurs poitrines, leurs dos et leurs sexes durs sous leurs pantalons. À ce moment-là, j’ai bien ressenti par le contact et la taille que c’étaient de jeunes hommes, avec une peau et des muscles fermes. Dans cette situation, avec leurs doigts qui fouillaient mon sexe et secouaient mon clitoris, et leurs deux bouches qui suçaient mes seins, je me suis mise à trembler en jouissant v i o l emment.

J’ai hurlé. J’entendais le flash des photos que prenait mon mari. C’était irréel. Je jouissais encore et encore.

Toujours les yeux bandés, ils m’ont assise et m’ont donné à nouveau à boire. Ils se sont mis tous les deux debout devant moi, et mon mari m’a demandé de les déshabiller, toujours sans parler. Ils se sont laissé faire. J’ai baissé leurs deux pantalons ensemble, puis leurs sous-vêtements en prenant leurs sexes dans mes mains. Je sentais tous proches ces deux sexes tendus, plus fins que celui de mon mari, qui touchaient un peu mon visage et ne demandaient que ma bouche. Ils ont mis tous les deux un préservatif et j’ai pu les prendre dans ma bouche à ma guise en passant de l’un à l’autre, et même les deux ensembles ! Les deux garçons me traitaient de salope et employaient des mots crus. Mon mari prenait plein de photos en me souhaitant un bon anniversaire.

Il a sorti à son tour son gros sexe et j’ai pu les sucer tous les trois ensemble. Je devenais folle de plaisir à sucer pour la première fois de ma vie trois sexes en même temps ! Au bout d’un moment, après m’avoir retiré mes bijoux, bas et chaussures, ils m’ont emmenée dans une chambre. Ils m’ont mise à quatre pattes en travers du lit en me disant qu’ils allaient me baiser ensemble comme une catin.

L’un d’eux a mis son sexe dans ma bouche en me prenant la tête à deux mains et j’ai senti que l’autre me pénétrait le sexe lentement et fermement. Mon mari les encourageait et me prenait toujours en photo et en film. Lui aussi m’a prise, son sexe était plus gros que les deux autres. J’étais en effet une cochonne, totalement soumise à trois hommes en rut. Je jouissais sans arrêt en tremblant. Ils s’arrêtaient quand ils voulaient pour échanger leurs places et je ne savais plus lequel des trois me baisait ni où. J’avais perdu tout repère. Puis, le plus hardi des deux s’est couché sur le dos. À la demande de mon mari, je me suis mise sur lui et il m’a pris les seins qui pendaient devant lui en les léchant comme un fou. J’ai senti mon mari prendre son sexe et le présenter à mon ventre puis me prendre les hanches pour m’empaler dessus. Je suçais le sexe de l’autre avec bonheur. Cela a duré quelque temps. C’était délicieux. Je ressentais chaque endroit de mon corps.

Soudain, j’ai senti mon mari présenter son sexe lubrifié devant mon anus. Il m’a pénétrée doucement, comme d’habitude, et a pu entrer entièrement. Prise par-devant et par-derrière en même temps, c’était extraordinaire. Ils ont coordonné leurs rythmes et m’ont défoncée ensemble par de grands coups de bites. Chacun criait et me traitait de tous les noms. J’étais prise par tous mes orifices avec les seins malaxés et pincés comme dans un film porno.

J’ai hurlé à nouveau. L’obscurité me rendait libre et me libérait de tous mes complexes.

J’ai senti le plus timide jouir dans sa capote à l’intérieur de ma bouche. Je l’ai senti ressortir doucement, son sexe enfermé dans le préservatif plein de sperme. C’était magnifique, étonnant et bon. Je suppose qu’en voyant cela de ses yeux, tout près de son visage, l’autre a joui à son tour dans mon ventre, à l’intérieur de sa capote. Je sentais les spasmes de son sexe. Ils se sont écartés doucement tous les deux, et mon mari a continué à se déchaîner dans mon cul.

Je me faisais défoncer comme une chienne. Il sortait complètement et rentrait à nouveau dans mon anus dilaté. Les autres, probablement fascinés, nous photographiaient. Mon mari a joui comme un fou en me traitant de salope et m’a rempli les entrailles de son sperme. Je sentais son sexe tressauter dans mon anus et m’inonder les fesses. Je jouissais encore.

Je n’en pouvais plus. Mon mari m’a alors autorisée à retirer mon bandeau et à parler. J’ai découvert, à ma grande honte et à mon plus grand plaisir, deux très jeunes hommes de 23 ans, beaux comme des dieux grecs, tatoués comme des guerriers et puissants comme des taureaux. Ils n’avaient jamais connu cela et ils étaient ravis. Ils m’ont félicitée, complimentée et m’ont donné à boire très gentiment. Je les ai embrassés avec tendresse. Mon mari souriait et m’embrassait à pleine bouche en me disant qu’il était fier de moi.

J’étais aux anges.

Ils me caressaient encore malgré nos folles galipettes. Je me suis allongée pour me reposer avec ces deux jeunes hommes nus à mes côtés. Ils me touchaient gentiment. Ils pouvaient largement être mes fils et leur beauté m’excitait. Ils étaient très doux. Très vite ils ont bandé à nouveau et ont demandé s’ils pouvaient encore me prendre. Mon mari leur a donné l’autorisation.

Ils ont remis un autre préservatif. Le premier, plus timide, m’a prise très gentiment avec mes jambes autour de sa taille. Il m’embrassait dans le cou en me disant des choses adorables concernant les femmes de mon âge. Je lui répondais en l’encourageant à me baiser à fond. Il me disait que mon sexe était bon et chaud, pas comme celui des filles de son âge. Il me serrait puissamment dans ses bras forts. Je lui caressais son dos ferme et je pétrissais ses fesses musclées. Ce très jeune homme me baisait très bien, longuement et profondément. Il m’a fait jouir en hurlant et a joui à son tour en gémissant. Il était adorable. J’étais épuisée. J’en étais à mon ixième jouissance intense. J’étais m o r t e de plaisir.

Pourtant l’autre est venu très vite me prendre. Il a pris mes jambes dans les plis de ses coudes en les écartant au maximum et m’a pénétrée d’un seul coup. Il s’est déchaîné dans mon sexe en tapant au fond, en claquant son ventre plat sur mon clitoris. J’étais une poupée de chiffon qui jouissait sans s’arrêter. Je criais comme une folle. Il me défonçait le sexe. Je griffais son dos et ses fesses. Mon mari m’encourageait et me félicitait en prenant des photos et des films. Il a joui très vite en me remerciant. Je tremblais de tout le corps.

Nous avons bu et nous nous sommes enfin quittés après de très grandes gentillesses de leur part. Ils m’ont promis de ne jamais m’oublier. J’étais flattée et fière à 48 ans d’avoir donné tant de plaisir à ces jeunes hommes.

Mon mari m’a ramenée à la maison complètement nue et trempée sous mon manteau. Je m’accrochais à son bras en l’embrassant, avec les jambes molles. Arrivés à la maison dans le garage, il m’a arraché mon manteau et m’a prise v i o l emment sur le capot de la voiture en me secouant comme un prunier. J’étais toute molle, abandonnée, j’avais mes bas plissés sur les chaussures et les bras en croix sur la poussière du capot. Il a joui en me remplissant le ventre. C’était si bon après ces préservatifs. J’aime sentir le sperme de mon mari couler dans mon ventre.

Je suis montée chez nous complètement nue, sentant le sexe, les cheveux ébouriffés, salie, souillée avec les bas qui tombaient, le sperme de mon mari qui suintait de mes fesses et de mon sexe entre mes jambes et mon maquillage qui coulait sur mes joues. J’avais l’air d’une putain qui rentrait du trottoir et j’aimais ça.

Vu l’heure, je n’ai rencontré personne et je ne me sentais plus.

J’ai conscience d’avoir beaucoup de chance d’avoir un mari comme le mien. Je l’aime de plus en plus. C’était un anniversaire inoubliable. J’attends le prochain avec impatience. Je vous embrasse tous.

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